Revue de presse web : Saint-Gaudens. Tribunal: crêpage de chignon et gazage pour…..une place de parking

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Sachez que l’écrivain (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a aucune raison de ne pas croire de la fiabilité de ces informations.

Sachez que la date d’édition est 2022-11-20 21:11:00.

« Cette affaire est l’illustration typique d’actes d’incivilités », avance maître Raynaud, conseil de *Stéphanie, victime de violence avec arme. Le 10 février dernier à Saint-Gaudens, vers 8h30, *Julie, 33 ans, auxiliaire de vie se rend chez une bénéficiaire dans une résidence privée. Accompagnée de son père, elle stationne son véhicule sur un emplacement réservé aux résidents. Après avoir déposé son fils à l’école, Stéphanie, qui demeure dans cette copropriété constate que son emplacement est occupé, elle se manifeste auprès de Julie. Le ton monte rapidement entre les deux jeunes femmes: « T’as rien à faire la. T’es à ma place. Dégage sinon je vais appeler la Police. » Avant de se rendre chez sa patiente, Julie réplique: « J’en ai rien à foutre. Ferme- la. J’en ai pour 5 minutes. » C’est son père, bien que ne possédant plus de permis qui déplace le véhicule. Dix minutes après, Julie reprend son véhicule. Arrivée à hauteur de Stéphanie, en discussion avec son père, elle descend brusquement.

Nouvelle altercation verbale. Julie bouscule Stéphanie, qu’elle gaze dans la foulée avec une bombe lacrymogène, avant de quitter les lieux. Stéphanie s’enquiert auprès d’une voisine pour savoir qui est cette personne qui l’a agressée. Elle se rince le visage et va déposer plainte vers 9h30.

A la barre du tribunal, Julie nie avoir utilisé une bombe lacrymogène, malgré l’odeur constatée vers 11h00 par le policier qui a pris la déposition de Stéphanie. Maître Raynaud demande réparation du préjudice et conclut: « Il y a une menteuse, mais ce n’est pas ma cliente. » Selon la substitut: « Même le père a fait état d’une odeur de « lacry », et pourtant vous continuez de nier, n’assumant pas votre responsabilité. » Maître Diaka, défenseur de Julie, s’appuie sur la déclaration de la voisine, en froid avec Stéphanie, qui n’a pas senti d’odeur de lacrymogène. Il plaide la relaxe et demande une non inscription au casier (B2), sa cliente suivant une formation pour être policière municipale.

Après délibéré, Julie écope de 105h de TIG, 2 mois de prison en cas d’inexécution. La non inscription au B2 est rejetée. Julie va longtemps regretter son geste aux lourdes conséquences.

*(prénom modifié).

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La Justice/Veille XI,(la couverture) .

Pourquoi je suis devenu… juge pour enfants,A voir et à lire. . Disponible sur internet.

Author: Maurice GLAIN